#ExpertisePublique: Améliorer la sécurité au Ghana, au Kenya et au Sénégal.

Le colonel de la Guardia Civil, Javier Hernandez, coordonne le projet européen CT Public Spaces visant à renforcer la sécurité au Ghana, au Kenya et au Sénégal. Il fait partie de l’#ExpertisePublique de la FIIAPP, mobilisé dans plus de 100 pays.

Le colonel de la Guardia Civil, Javier Hernandez

Quelle a été la plus grande réalisation de votre expérience en tant qu’expert mobilisé ?
Diriger un projet (CT Public Spaces) ayant un impact dans divers pays d’Afrique (Ghana, Kenya et Sénégal), représentant une institution, presque bicentenaire, comme la Guardia Civil Espagnole et parvenir à l’amélioration de la sécurité de tous et toutes
 
De quoi êtes-vous le plus fier ?
De pouvoir transmettre aux forces de sécurité des pays partenaires notre façon de faire les choses, de manière sérieuse et rigoureuse, ainsi que d’avoir créé des liens avec eux qui transcenderont la durée du projet.

Comment votre mission a-t-elle contribué à améliorer la vie des gens et de la planète ?
Nous essayons de contribuer à la sécurité des citoyens et donc au développement de leurs sociétés. Si nous y parvenons, nous améliorons leur vie quotidienne et, à partir de là, nous améliorons leurs sociétés, les rendant plus libres et prospères.

Quelle est pour vous la principale valeur du public ?
Assurer la sécurité des citoyens est certainement la responsabilité des administrations publiques qui en sont responsables par la loi, mais dans ce domaine, nous sommes tous nécessaires, dans notre projet nous voulons impliquer les acteurs privés ; nous devons tous coopérer, chacun dans le cadre de ses compétences.

Qu’avez-vous appris de cette expérience ?
On apprend toujours et on peut toujours faire les choses différemment, chaque pays a ses modes, son temps, ses coutumes et ses influences, il faut y être ouvert, nous devons adapter nos procédures aux circonstances, rechercher la collaboration sans imposer, créer des confiances et établir des liens qui permettent la continuité de cette collaboration, ainsi que l’appropriation de ce que les différentes forces de sécurité des pays partenaires ont appris.